Michel Ballereau succède à Elisabeth Tomé-Gertheinrichs en tant que délégué général de la FHP
Michel Ballereau succède à Elisabeth Tomé-Gertheinrichs qui occupait ce poste depuis septembre 2012.
Michel Ballereau succède à Elisabeth Tomé-Gertheinrichs qui occupait ce poste depuis septembre 2012.
Fédérant 12% des cliniques privées indépendantes, des établissements plutôt de grande taille, le groupe coopératif représente désormais 20% du chiffre d’affaires du secteur privé de médecine, chirurgie, obstétrique (MCO) en France.
Le rapport sur les coûts hospitaliers publié lundi par l’ATIH confirme que la prise en charge des patients coûte deux fois moins cher en clinique qu’à l’hôpital, soulignant ainsi l’efficience du secteur et l’économie pour la collectivité.
Le montant des économies (280 millions d’euros par an) annoncé par l’assurance maladie et qui pourraient être réalisé en faisant sortir les mamans au bout de trois jours des maternités, au lieu de quatre aujourd’hui, est fortement improbable.
Ce coefficient inscrit dans la Loi de financement de la sécurité sociale 2013 (LFSS 2013) est un outil visant à s’assurer de la maîtrise de l’ONDAM hospitalier. Il consiste à préempter en début d’année une réserve financière sur les tarifs dans le cas où le volume prévisionnel serait dépassé.
Les deux institutions soulignent l’intérêt de poursuivre la convergence des tarifs entre les secteurs hospitaliers public et privé.
Dans de nombreuses régions de France, c’est l’hôpital public qui a déserté les territoires et qui est incapable de maintenir une offre de soins de proximité.
Trois quarts des établissements (75%) se situent désormais en dessous du seuil de résultat net minimum préconisé par les experts financiers, à savoir 3%, une situation qui ne leur permet plus d’investir.
La FHP-MCO annonce avoir saisi la Commission européenne d’une plainte contre l’Etat français pour financement discriminatoire, non justifié et préjudiciable entre établissements de santé publics et privés, au détriment des cliniques et hôpitaux privés en France.
En dépit d’un accord de 2009 actant des intentions, les syndicats de médecins et l’assurance-maladie ne sont toujours pas parvenus à se mettre d’accord sur la création d’un secteur optionnel afin d’encadrer les dépassements des tarifs des praticiens à honoraires libres. Les négociations sur ce point ont été repoussées à septembre.
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